Raids antiporno dans les écoles indonésiennes
L’Indonésie, premier pays musulman du monde, ne badine pas avec le sexe, surtout quand c’est celui des stars locales. La police a donc lancé hier des descentes dans plusieurs écoles afin de s’assurer que les élèves n’avaient pas téléchargé des vidéos montrant Ariel, un célèbre chanteur rock, faisant l’amour – séparément – avec deux célèbres animatrices de télévision, dont sa compagne. Le scandale, lancé par la diffusion des vidéos sur Internet il y a dix jours, fait encourir douze ans de prison aux trois stars, en vertu d’une loi «antipornographie».
Source: http://www.liberation.fr/monde/0101641402-raids-antiporno-dans-les-ecoles-indonesiennes
Six crises qui bousculent l’ordre économique mondial
A quelle place l’Histoire situera-t-elle la crise globale – dont les symptômes sont à la fois financiers, monétaires, économiques, alimentaires, énergétiques et écologiques – que subit la planète depuis mi-2007 et qui s’est accélérée en ce premier semestre de l’année 2008 ? Quelle sera son amplitude sur l’échelle de Richter des tremblements de terre économiques et sociaux ? Plus forte que la grande dépression de 1929 ? Similaire à celle des années 1970 où, juste avant le premier choc pétrolier de 1973 et la récession du deuxième semestre 1974, des scientifiques, des industriels et des économistes, fondateurs du Club de Rome en 1968, appelaient dans le rapport Meadows (1972) à stopper la croissance, afin d’éviter l’épuisement des ressources de la planète d’ici à la fin du XXIe siècle ?
La prudence est de mise. Pour s’en convaincre, il suffit d’abord de relire le rapport du Conseil d’analyse économique (CAE) « Les crises financières », publié en 2004, et dont les trois auteurs, Robert Boyer, Mario Dehove et Dominique Plihon, rappellent à l’envi que « les crises financières rythment l’histoire du capitalisme », prenant souvent la forme de crises « jumelles » (bancaire et de change), voire multiples si les indices boursiers et l’activité économique s’effondrent. Ils soulignent aussi le caractère ancien de l’interdépendance des marchés. Qui plus est, expliquent-ils, les crises sont plus nombreuses depuis la disparition en 1971 des accords de Bretton-Woods, qui signèrent a la fin du système de change fixe instauré à la fin de la seconde guerre mondiale. Ensuite, insiste Pierre-Cyrille Hautcoeur, professeur associé à l’Ecole d’économie de Paris, « quand on essaie de quantifier l’ampleur d’une crise, il faut faire attention de distinguer les mécanismes à l’oeuvre et les ajustements qui se produiront in fine ». Concernant l’atterrissage de la crise actuelle, en dépit des révisions à la baisse menées par le Fonds monétaire international (FMI) ou par l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), la croissance mondiale afficherait une progression située entre 3,5 % et 4 %, et ce grâce aux moteurs chinois et indien, à condition qu’ils ne ralentissent pas trop eux aussi. « Nous n’affrontons donc pas pour le moment, reprend M. Hautcoeur, une crise économique radicale. » Une opinion partagée par Philippe Chalmin, professeur à l’université Paris-Dauphine, spécialiste des matières premières : « Il est nécessaire de prendre du recul, de relativiser. L’intensité actuelle est forte, mais rappelez-vous la crise des années 1970 : nous avons tous annoncé alors l’avènement d’un nouvel ordre économique international. «
En revanche, la nature multiple de la crise actuelle interroge économistes et historiens, qui la qualifient volontiers d’exceptionnelle. Pas forcément pour les mêmes raisons d’ailleurs, mais exceptionnelle néanmoins. M. Chalmin confirme ainsi n’avoir jamais vu « une telle volatilité des marchés de change et de matières premières ». « La référence habituelle à la crise de 1974 paraît tout à fait dépassée, constate-t-il. Le 2 janvier, le pétrole cote 100 dollars le baril – ce qui a été salué comme un record incroyable -, le 25 avril, il est déjà à 117,6 ! » Pour Jean-Paul Betbèze, chef économiste du groupe Crédit agricole, même s’il y a eu l’éclatement de la bulle Internet en 2000, « nous affrontons la première grande crise du XXIe siècle ». Selon lui, il ne s’agit pas du schéma classique d’une crise américaine (ou d’une autre région du globe), qui contamine ensuite telle ou telle partie de la planète. « Nous avons affaire à un schéma inédit, à savoir la conjonction de crises différenciées et interdépendantes. Aux Etats-Unis, c’est la crise d’un pays surendetté ; en Europe, c’est une crise d’une région dont les Etats membres n’ont toujours pas résolu leur gouvernance politique, les empêchant de mener une stratégie économique concertée ; et dans les pays émergents, nous assistons ou allons assister à une crise classique de surchauffe et de croissance. »
Qui plus est, insiste M. Betbèze, « le jeu actuel entre tous les acteurs de ces crises est non coopératif. Ainsi, la chute du dollar n’arrange en rien les Européens, qui voient leurs exportations renchérir. Quant aux Chinois, ils se refusent à réévaluer leur devise, le yuan, ce qui permettrait aux pays occidentaux de regagner en compétitivité. »
Pierre Bezbakh, maître de conférences à l’université Paris-Dauphine, dont une partie des travaux ont porté sur l’histoire des crises, confirme ce jeu d’interdépendance plus compliqué que jamais : « Les Etats du Sud ne sont plus en position de dominés, ils sont désormais intégrés dans la compétition mondiale. Quant aux ex-pays de l’Est, ils se sont eux aussi convertis aux règles du marché. Vous avez donc une multiplicité d’acteurs dont les intérêts sont loin d’être convergents. » A l’instar de Patrick Artus, chef économiste de Natixis, et de Marie-Paule Virard, journaliste, qui ont publié à La Découverte en 2005 Le capitalisme est en train de s’autodétruire, M. Bezbakh pense que la crise actuelle signe « une rupture totale de société. Le capitalisme n’est plus en voie de développement, mais en voie d’achèvement. Les puissances occidentales ne peuvent plus faire payer à d’autres pays le coût de la crise, comme ils l’avaient fait en 1929 avec la baisse du prix des matières premières. Nous assistons à un processus d’autodestruction soit du système, soit de son fonctionnement ». Et la crise actuelle en serait la signature la plus forte.
POURQUOI DE LOI D’INDONÉSIE?
Ce qui m’a amené à me bouger, c’est les vies qui sont faites en haut. J’ai commencé à me renseigner, à lire les textes de loi et à mieux comprendre. On médiatise beaucoup la loi d’Indonésie, “ La Loi Essentiel a 1945”.
La loi permets à quelqu’un fait prier selon sa religion. Chaque personne peut faire d’adoration à son Dieu. Mais en Indonesie, il y a certaines groups ont fait problem toujours dans la vie de faire religion. Beaucoup personnes de certaines groups fait déranger ou arrêter les Chretiens quand ils priaient.
Pour moi, je ne suis pas content à propose d’application de la loi. J’espère que les jeunes gens veut améliorer de situation. Ils se garder de multiculturalisme et de lois de l’homme et femme, en Indonésie. (Pormadi Simbolon).
CELUI QUI ÉCRIT, LIT DEUX FOIS
POURQUOI D’APPRENDRE LE FRANÇAIS?
J’ai appris le cours du français depuis le septembre 2004 au CCF Salemba à Jakarta, en Indonésie. Je pense que d’apprendre le français puisse améliorer mon (ma ?) capacité d’écrire quelque chose au sujet de la philosophie ou de la vie de société.
D’une part pour moi, d’apprendre le français est un bon choic. Il est fonctionné par philosophe viennent du France ou des françaises.
D’autre part, j’etait un etudiant de la philosophie et de la theologie. Je l’ai etudié en 4 ans à l’ecole de la philosophie et de la theologie en Indonesie.
J’espère que je peux améliorer mon franéais et ma capacité d’ecrire.
Amicalement,
Pormadi Simbolon
La Nuit du Samedi à Jakarta
Ma petite amie, Cuncun, une chinoise, elle m’a téléphoné. Elle a dit que nous allait au cinéma, Bioskop Buaran”, à l’Est de Jakarta. S’était le 15 avril 2006. D’après elle, le film était “Final Destination 3”. Alors Je suis allé chez elle, à Senen, le centre de Jakarta. Il était la nuit. Il était 19 heure du soir. Nous avons pris le transport du public, “Metromini 47” de chez elle au cinéma. Il a fallu une heure. En allant au cinéma, nous-nous sommes bavardés d’amour.
Alors, nous sommes allés à la salle du cinéma après achèter deux tickets. Le film n’était pas mauvais. Il était un film de vie les jeunes d’americains. Dans la vie, tout le monde a eu la destination. La destination était la mort. Le film a fini à 22.00 heure.
À la nuit, nous avons eu soif. Donc nous sommes allés au petit café pour prendre quelque chose à boire. Enfin, nous avons rentrés chez elle.
D’aller au cinéma est d’habitude de baucoup des Indonésiens à faire à la nuit du samedi.
Par Pormadi Simbolon, Étudiants du CCF Jakarta
BALI: UNE ÎLE BELLE
par Pormadi Simbolon
Quel beau plan! J’ai pu avoir des vacances à Bali avec mes amis. Puis, nous avons loué une voiture. Nous sommes départis de Malang pour Bali le Mercredi, 21 Août 2002 à 2 heures de l’apres-midi. Nous sommes arrivés a Denpasar à 5 heures du matin. C’est magnifique! Nous nous sommes logés à l’hôtel. Il s’appelle l’Hôtel Nikko, 4e rue Gatot Subroto. Puis, je me suis lavé et mes amis aussi.
Et d’abord, nous avons commoncé de vacances à Bedugul. Il y a un beau lac et il ya du brouillard.
La jour prochain, nous nous sommes promenés à Tapak Siring et au lac Batur. Et après, nous avons déjeuné à 2 heures de l’après-midi. Puis, nous sommes allés à Nusa Dua Beach et à la plage Kuta. Nous sommes restés a Kampung Legian pour voir beaucoup de magasins.
Au troisième jour, nous avons visité la Culturel Parc de Garuda Kencana. Mes amis se sont intéressé a voir la statue de dieu de Wisnu. Et après, nous sommes revenus à la plage Kuta. Nous avons été heureux. Nous avons pris des nos photos et de touristes aussi. Quelle belle plage!
Le 25, nous sommes rentrés pour Malang à 9.30 heures. Finalement, j’ai su que Bali est île belle.
Auteur est un étudiant au CCF Salemba de Jakarta.
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